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Hypo-réactionnelle

Une des premières choses que j’ai apprises en éducation thérapeutique pour le diabète est qu’un repas doit nous apporter tout ce dont notre corps à besoin et surtout un bon équilibre protéines, lipides et glucides avec des glucides variés. La variété des apports en glucides est très importantes afin que ce repas libère ses glucides de façon douce et continue tout au long de la journée, sans générer de pic de glycémie, ni d’hypo réactionnelle, ni encore de coup de faim ou envie de grignottage. Il est souvent recommandé d’associer une légumineuse ou une céréale, ici le pain, un laitage, ici le yaourt et un fruit. Chacun de ces aliments apporte des glucides de type différents. En ayant différentes natures de glucide et en les associant à des protéines, des fibres et des lipides cela abaisse l’IG du repas : moins d’hyper et d’hypo glycémies.

======HYPOGLYCÉMIE – HYPO REACTIONELLE Il est bon de comprendre que si un diabétique a besoin de resucrage, il doit généralement être rapide et efficace, mais également durable dans le temps. Pour une personne non diabétique l’attrait d’un produit sucré est le même, l’hypoglycémie donne la sensation de fatigue et créé de compulsions alimentaires. La personne fait l’équivalent d’un resucrage.Si l’assimilation d’aliments suite à une hypo est mal dosée, celà génère une hyper glycémie (pic sur la courbe rouge). L’hyperglycémie pose problème en elle-même mais il est bon de comprendre qu’elle peut également être aussi suivie d’une « hypo-réactionnelle ». L’hypoglycémie sera lissée par l’insuline, le sucre sera assimilé par le corps et souvent celà génère une prise de poids. C’est comme quand on jette un caillou dans l’eau : ça fait des vagues. La valeur normale de la glycémie est : 1 et elle varie autour de cette valeur. L’hypo réactionnelle c’est quand ça descend en dessous du mini après être allé bien au dessus. L' »hypo-réactionnelle » est liée à l’effet de l’insuline, (soit celle sécrétée par le corps, soit celle injectée pour les personnes qui sont sous insuline). Quand l’insuline fait effet, le corps accepte les glucides et souvent un peu trop, ce qui créé ce contre effet = l’hypo-réactionnelle. C’est désagréable et pour un diabétique c’est potentiellement dangereux. Ca peut également faire prendre du poids si l’alimentation est trop riche. Pour éviter ça, il convient de se trouver une façon de se resucrer qui fasse tendre la glycémie vers un plat (courbe verte) ou du moins un pic plus écrasé (courbe orange). Ainsi, la glycémie remonte mais elle ne fait plus de pic et pas non plus d’hypo réactionnelle. Pour une personne diabétique, il est possible de faire ses tests avec plusieurs mesures de la glycémie très régulières pour voir cette courbe s’applatir. Le principe est le même que celui des repas équilibrés : glucides à effet rapide (glucides simple comme un jus de fruit par exemple) et glucide à effet plus lent (glucide complexe comme un biscuit). Une fois que l’on a trouvé son resucrant il s’agit de l’avoir toujours dans son sac à main. Et quand on a son ressucrant dans son sac à main, il s’agit d’éviter d’en avoir besoin. Pour celà, on respecte les règles de base : manger à heures régulières, des quantités adaptées, dans des proportions équilbrées et en variant ses sources. Je varie mes sources de protéines, de lipides et de glucides et je respecte les recommandations ANSES pour l’équilibre protéines/lipides/glucides.

======On me dit parfois que je suis très rigoureuse (je pèse 1/4 de viande, 1/4 féculent et 1/2 légumes à chaque repas et je mesure mes matières grasse).J’ai tellement souffert de l’obésité et du diabète, des mycoses et infections urinaires à répétition, des fatigues chroniques, des douleurs aux articulations, des hypers et des hypos avec leurs lots de mal être et tout ce que cela apporte de morosité, de colère, etc…Le diabète de type 2 et l’obésité peuvent nous engloutir dans un cercle vicieux qui parait sans fond. Ma famille a payé cher et pour ma part, je fais de mon mieux pour aller bien. L’obésité à elle seule nous renvoit une telle image de nous-même… celles et ceux qui vivent ça comprennent. Et j’ai inversé ce mouvement pour passer d’un cercle vicieux à une boucle vertueuse dans laquelle le mouvement entraine la santé et la santé le plaisir et le plaisir invite au mouvement. Alors, OUI, je suis rigoureuse. Je sais d’où je viens et je ne veux plus y retourner. Sortir du diabète et de l’obésité a été une libération, l’ouverture vers un nouvel espoir de vivre enfin ma vie telle qu’elle doit être. Et c’est pour cela que chaque jour, je fais de mon mieux pour aider celles et ceux qui comme moi veulent tout faire pour aller mieux. J’ai écris livres qu’il aident beaucoup de personnes diabétiques ou obèses ou qui veulent aller mieux. Une des premières choses que j’ai apprises en éducation thérapeutique pour le diabète est qu’un repas doit nous apporter tout ce dont notre corps à besoin et surtout un bon équilibre protéines, lipides et glucides avec des glucides variés. La variété des apports en glucides est très importantes afin que ce repas libère ses glucides de façon douce et continue tout au long de la journée, sans générer de pic de glycémie, ni d’hypo réactionnelle, ni encore de coup de faim ou envie de grignottage. Il est souvent recommandé d’associer une légumineuse ou une céréale, ici le pain, un laitage, ici le yaourt et un fruit. Chacun de ces aliments apporte des glucides de type différents. En ayant différentes natures de glucide et en les associant à des protéines, des fibres et des lipides cela abaisse l’IG du repas : moins d’hyper et d’hypo glycémies.======HYPOGLYCÉMIE – HYPO REACTIONELLE Il est bon de comprendre que si un diabétique a besoin de resucrage, il doit généralement être rapide et efficace, mais également durable dans le temps. Pour une personne non diabétique l’attrait d’un produit sucré est le même, l’hypoglycémie donne la sensation de fatigue et créé de compulsions alimentaires. La personne fait l’équivalent d’un resucrage.Si l’assimilation d’aliments suite à une hypo est mal dosée, celà génère une hyper glycémie (pic sur la courbe rouge). L’hyperglycémie pose problème en elle-même mais il est bon de comprendre qu’elle peut également être aussi suivie d’une « hypo-réactionnelle ». L’hypoglycémie sera lissée par l’insuline, le sucre sera assimilé par le corps et souvent celà génère une prise de poids. C’est comme quand on jette un caillou dans l’eau : ça fait des vagues. La valeur normale de la glycémie est : 1 et elle varie autour de cette valeur. L’hypo réactionnelle c’est quand ça descend en dessous du mini après être allé bien au dessus. L' »hypo-réactionnelle » est liée à l’effet de l’insuline, (soit celle sécrétée par le corps, soit celle injectée pour les personnes qui sont sous insuline). Quand l’insuline fait effet, le corps accepte les glucides et souvent un peu trop, ce qui créé ce contre effet = l’hypo-réactionnelle. C’est désagréable et pour un diabétique c’est potentiellement dangereux. Ca peut également faire prendre du poids si l’alimentation est trop riche. Pour éviter ça, il convient de se trouver une façon de se resucrer qui fasse tendre la glycémie vers un plat (courbe verte) ou du moins un pic plus écrasé (courbe orange). Ainsi, la glycémie remonte mais elle ne fait plus de pic et pas non plus d’hypo réactionnelle. Pour une personne diabétique, il est possible de faire ses tests avec plusieurs mesures de la glycémie très régulières pour voir cette courbe s’applatir. Le principe est le même que celui des repas équilibrés : glucides à effet rapide (glucides simple comme un jus de fruit par exemple) et glucide à effet plus lent (glucide complexe comme un biscuit). Une fois que l’on a trouvé son resucrant il s’agit de l’avoir toujours dans son sac à main. Et quand on a son ressucrant dans son sac à main, il s’agit d’éviter d’en avoir besoin. Pour celà, on respecte les règles de base : manger à heures régulières, des quantités adaptées, dans des proportions équilbrées et en variant ses sources. Je varie mes sources de protéines, de lipides et de glucides et je respecte les recommandations ANSES pour l’équilibre protéines/lipides/glucides. ======On me dit parfois que je suis très rigoureuse (je pèse 1/4 de viande, 1/4 féculent et 1/2 légumes à chaque repas et je mesure mes matières grasse).J’ai tellement souffert de l’obésité et du diabète, des mycoses et infections urinaires à répétition, des fatigues chroniques, des douleurs aux articulations, des hypers et des hypos avec leurs lots de mal être et tout ce que cela apporte de morosité, de colère, etc…Le diabète de type 2 et l’obésité peuvent nous engloutir dans un cercle vicieux qui parait sans fond. Ma famille a payé cher et pour ma part, je fais de mon mieux pour aller bien. L’obésité à elle seule nous renvoit une telle image de nous-même… celles et ceux qui vivent ça comprennent. Et j’ai inversé ce mouvement pour passer d’un cercle vicieux à une boucle vertueuse dans laquelle le mouvement entraine la santé et la santé le plaisir et le plaisir invite au mouvement. Alors, OUI, je suis rigoureuse. Je sais d’où je viens et je ne veux plus y retourner. Sortir du diabète et de l’obésité a été une libération, l’ouverture vers un nouvel espoir de vivre enfin ma vie telle qu’elle doit être. Et c’est pour cela que chaque jour, je fais de mon mieux pour aider celles et ceux qui comme moi veulent tout faire pour aller mieux. J’ai écris livres qu’il aident beaucoup de personnes diabétiques ou obèses ou qui veulent aller mieux.